Ingril dans les médias

Nous essayons de sensibiliser sur la situation via les médias en nous appuyant sur la pétition. Voici l’article du journal LeParisien suivi de nos commentaires face aux déclarations des pécheurs et de la Mairie :

Comment les pêcheurs peuvent-ils accuser les riders d’abîmer leurs filets sans preuve ? Sachant que sur d’autres étangs où nos pratiques sont interdites, il y a des plaintes de dégradations de filets… Et vu le prix que coûte à nous aussi notre matériel, on a aucune envie d’aller l’abîmer dans des filets, ni risquer de se blesser !

Sans lieux de pratique c’est toute l’économie de ces sports de glisse (kite, wing, windsurf) qui tombe : écoles, shops, fabricants, riders pro locaux.

Sans parler de toute l’économie liée au tourisme qu’elle génère (l’office du tourisme de l’Aude l’a bien mis en exergue dans leur enquête*)

Et les habitants ont aussi le droit de profiter du domaine public maritime. Les affaires maritimes ont rappelé à plusieurs reprises en réunion qu’on ne peut pas le privatiser à des fins commerciales.

Est-ce trop demander après 1,5 an de tentative de cohabitation d’avoir une zone où les riders ne risquent pas de se prendre des filets et piquets en plein milieu de la zone ?

13% d’un des 2 seuls étangs de l’Hérault où le kite est autorisé alors que la pêche est, quant à elle, autorisée partout.

Dans ces 13% sont concernés, à notre connaissance, 3 pêcheurs qui ont aussi des postes ailleurs.

On a bien entendu que la pêche est considérée comme prioritaire mais cela ne veut pas dire exclusive !

Des centaines de pratiquants ne peuvent pas être soumis au bon vouloir de quelques pêcheurs qui considèrent que les étangs leur appartiennent.

Plutôt que de gérer un partage équitable et intelligent, les élus préfèrent détourner les pratiquants du site en leur imposant de plus en plus de contraintes : d’abord une réduction des places de parking, puis des horaires, une limitation de zone et ils évoquent même un système de réservation comme pour les calanques de Marseille !

Alors que certains filets sont dans l’illégalité en coupant le plan d’eau en deux comme le montrent les images qu’on a filmées (ce qui est contraire à l’article D922-18 du code rural et de la pêche maritime).

Le problème c’est que tout comme les poissons, nous n’avons plus d’autres endroits où aller…

Cliquez ici pour accéder à la pétition

*https://www.cotedumidi.com/espace-pros/enquete-nautisme/

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